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Ce que j’ai compris en ce qui concerne la COVID 19

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Ce que j’ai compris en ce qui concerne la COVID 19 Empty Ce que j’ai compris en ce qui concerne la COVID 19

Message par Admin Lun 23 Nov 2020 - 8:33

Je n’ai pas la prétention d’avoir tout compris, mais à force de me faire doucher par diverses informations contradictoires j’ai essayé faire ma propre vérité sur cette maladie.
I.       Le virus
Les corona virus sont une famille de virus qui provoquent des maladies allant d’un simple rhume (certains virus saisonniers sont des corona virus) à des pathologies plus sévères (comme les détresses respiratoires du MERS, du SRAS ou de la COVID-19).

A.    Catégorie

Il n’est pas un organisme vivant, mais une molécule de protéine (ADN) recouverte d’une couche protectrice constituée de lipide (matière grasse) qui, lorsqu’elle est absorbée par les cellules oculaires, nasales ou buccales, change son code génétique (mutation) et se transforme en agresseur et en cellules multiplicatrices.
Dès lors que le virus n’est pas un organisme vivant mais une molécule de protéine, on ne peut pas le ‘’tuer’’ à proprement parler ; il se décompose de lui-même.
La durée de cette désintégration dépend de la température, du niveau d’humidité et du type de matière sur laquelle il repose.

B.     Composition.

Le virus est très fragile ; la seule chose qui le protège est une fine couche extérieure de graisse.

C.    Caractéristique.

Lorsque le virus est collé à une surface poreuse, il est très inerte.

1.      Décomposition.

Les rayons ultraviolets décomposent la protéine du virus, quel que soit la surface où il se trouve. La lampe à ultraviolets, par exemple, est parfaite pour désinfecter et réutiliser un masque. Prudence néanmoins car elle décompose aussi le collagène (une autre protéine) de la peau et peut être la cause de rides et cancer de la peau.

2.      Durée de vie.

3h sur un tissu par exemple ou toute autre surface poreuse.
4h sur le cuivre (naturellement antiseptique) et le bois (qui l’assèche et l’empêche de se décoller pour se diffuser dans l’atmosphère).
24h sur le carton
42h sur un métal.
72h sur le plastique.

3.      Stabilité.

Les molécules du virus restent très stables dans le froid extérieur, ou dans le froid artificiel (climatisation des bâtiments ou des véhicules, par exemple…). Pour rester stables, ces molécules ont aussi besoin d’humidité et de pénombre. Ainsi, le virus se dégradera plus facilement et rapidement dans un environnement déshumidifié, sec, chaud et lumineux.
Personnellement je couche mon masque sur la plage avant, loin des ouies de ventilation, coté extérieur vers le haut, bien exposé au soleil. Je préfère cela que de le laisser pendouiller au rétroviseur ou à l’oreille.

D.    Moyens de destruction.

1.      Les bons moyens.

C’est pourquoi tout savon ou détergent est le meilleur remède, car la mousse attaque la graisse (raison pour laquelle on doit autant se frotter les mains, 20 secondes ou plus, afin de faire beaucoup de mousse).
En dissolvant la couche grasse, on obtient que la molécule de protéine se disperse et se décompose d’elle-même.
La chaleur fait fondre la graisse, voilà pourquoi il est bon d’utiliser de l’eau au-dessus de 25°C pour laver ses mains, les vêtements ou toute autre chose. En plus, l’eau chaude produit plus de mousse et la rend ainsi plus efficace.
La listerine peut être utile, sa teneur en alcool étant de 65%. L’alcool ou tout autre mélange contenant plus de 65% d’alcool dissout toute graisse, et particulièrement la couche extérieure de lipide du virus.
Tout mélange d’une (1) dose d’eau de Javel pour cinq (5) doses d’eau dissout directement la protéine et la détruit de l’intérieur.
En l’absence de savon, d’alcool, ou de chlore, on peut recourir à l’eau oxygénée, car le peroxyde dissout la protéine du virus, mais il faut l’utiliser pure, ce qui est nocif pour la peau.

2.      Les mauvais moyens.

Aucun bactéricide est utile. Le virus n’est pas un organisme vivant comme la bactérie. Les antibiotiques ne peuvent pas tuer ce qui n’est pas vivant.
Le vinaigre ne sert à rien car il ne dissout pas la couche protectrice grasse du virus.
Les boissons alcoolisées, comme la vodka, n’ont aucun effet (les plus fortes comportent autour de 40% ou 50% d’alcool, or la teneur minimale requise est de 65% d’alcool).
II.      Les doses nécessaires.
Une dose est une quantité de produit reçue pendant un certain temps.

A.    Débit de dose.

Vous pouvez recevoir une dose massivement en quelques secondes ou parcimonieusement tout au long de la journée. Ou pour le dire autrement vous pouvez mettre la main une seule fois dans une flaque de virus ou alors respirer 20 000 fois l’air expiré de votre collègue infecté.

B.     Niveau de dose.

Chaque personne a sa propre quantité de dose nécessaire pour un effet donné. Pire, la même personne a un niveau de dose différent en fonction de sa forme physique, de son moral, de son état de santé, …
On ne peut pas fixer un niveau de dose pour tout le monde et tout le temps. On ne peut parler qu’en termes de fourchettes.
La plus grande quantité de virus passe par dépôt-reprise. Il faut être exposé pendant un certain temps dans un lieu confiné pour recevoir cette même dose.
III.  L’interaction entre l’humain et le virus.

A.    Pénétration dans le corps humain.

Le virus ne peut pas passer à travers une peau saine.
Lorsque vous allez aux toilettes et/ou dans la salle de bain, il est important de s’hydrater les mains car elles ont tendance à se dessécher à force de lavages répétés. Les molécules du virus peuvent alors pénétrer dans les microlésions de la peau. Plus l’hydratant est épais, mieux c’est.
Comme cela a été écrit en début de texte, le virus pénètre surtout par les ouvertures naturelles du corps : bouche, nez et yeux. Ceux qui ont l’habitude de vivre le cul à l’air peuvent risquer une infection par ce trou-là. (le troulala, troulala).

B.     La transmission.

1.      Directe.

Lorsque deux êtres mélangent leurs fluides, il est plus que possible que le virus se transmette.

2.      Indirecte.

Pour cela il faut passer par un intermédiaire. On distingue deux façons de le transmettre.

a)     Par dépôt puis reprise.

Le contaminé dépose le virus sur une surface où le futur contaminé le reprend.

b)     Par vecteur aérien.

Le contaminé expulse le virus dans l’air où il vole avec les microgouttelettes puis le futur contaminé le capture, généralement par respiration.

C.    Les différents niveaux d’infection.

1.      L’entrée dans l’organisme.

Principalement par la bouche, le nez ou un petit peu les yeux.

2.      L’installation dans le corps.

L’incubation est la période entre la contamination et l’apparition éventuelle des premiers symptômes J + 3 à 6 jours en général, mais peut aller de 2 à 12 jours. Le malade peut déjà être contagieux dès J +5.
Le virus se fixe sur les récepteurs ACE2 très abondants dans les cellules de muqueuse qui tapissent la cavité nasale et les poumons.

3.      La multiplication.

Une fois entré, le virus entre ainsi dans la trachée, les poumons et les bronches.se renforce, se multiplie, s’installe.

4.      La détection de l’attaque de l’organisme.

Il provoque ou pas les symptômes connus : toux, rhume, fièvre, nausées, diarrhées, perte du goût, douleurs musculaires, difficultés respiratoires, parfois pneumonie et détresse respiratoire.

a)     Apparitions de complications.

22% de la population mondiale, est atteinte de troubles de la santé pouvant apporter des complications.
Les femmes enceintes, les fumeurs, les diabétiques, les immunosuppressifs, les obèses, les personnes sous traitement rénal, dialyse, anti-cirrhose, ...
La maladie de kawasaki ne concerne pas que les motards (une centaine de cas chez les enfants).

5.      La défaillance du système pulmonaire.

L’échange entre oxygène et gaz carbonique est compromis.

6.      La défense de l’organisme.

Le système immunitaire attaque le virus. S’il ne le vainc pas, l’invasion continue.

7.      La défaillance d’autres organes.

Le virus se fixe sur d’autres cellules qui ont aussi les récepteurs ACE2.
Il peut affecter le cœur, les artères, les veines, l’appareil digestif, le foie, les reins, les tissus conjonctifs, le système nerveux et même le cerveau.

8.      Les effets sur l’homme.

La santé des patients se dégrade très soudainement environ 8 jours après les premiers signes. Cela commence souvent par la perte du goût et de l’odorat.
Troubles de la conscience, perte de connaissance, apathie, épilepsie, AVC et coma. Parfois les vaisseaux sanguins sont atteints aux extrémités et ressemblent à des engelures.

9.      L’assistance respiratoire.

Le patient est mis sous assistance respiratoire.

10. La mort.

Si le corps n’arrive pas à maîtriser l’attaque, le patient décède.

11. La sortie du corps de l’hôte.

La sortie du corps pour infecter d’autres humains s’appelle la contamination.
C’est cette phase dont il convient de limiter les effets.
IV. Combat contre la maladie.
Le principe est connu depuis longtemps, mais on ne savait pas quels sont les moyens les mieux adaptés.

A.    Détecter les personnes porteuses du virus.

Il n’y a pas pire malade qu’un malade qui ignore son état.
(1)   Tout d’abord tester massivement.
Un premier bilan général de la population doit être fait.
(2)   Tester les personnes à risque.
Dès qu’une infection est soupçonnée.
(3)   Tester les personnes ayant beaucoup d’interactions avec les autres.
Ceux qui exercent des métiers nécessitant le contact avec les gens, doivent être testées régulièrement.
(4)   Tester les cas contact.
Afin de faire le lever de doute sur ceux qui sont susceptibles d’avoir reçu le virus.
(5)   Tester encore une fois massivement.
Afin de déterminer si la maladie est sur la voie de l’éradication ou de sa progression.

B.     Isoler les porteurs de virus.

Même si l’on ne sait pas s’il a beaucoup de virus en lui, il doit immédiatement s’isoler des autres pendant 2 semaines. Une fois sa dangerosité confirmée, la personne doit rester en confinement jusqu’à ce qu’elle ne soit plus contaminante.
Isoler ne veut pas dire bannir. [On peut être isolé du froid tout en étant dans le froid]. La personne infectée peut continuer à fréquenter des gens mais en redoublant de précautions. Elle devra rester distante des autres et ne pas laisser échapper de virus. Cette personne devra être assistée de conseillers et devra être suivie jusqu’à la guérison.

C.    Rechercher les cas contacts.

A partir du moment où une personne est soupçonnée d’avoir la COVID, il faut rechercher toutes les personnes qui auraient pu être suffisamment proches d’elle et susceptibles d’avoir été infectée.

D.    Combattre la transmission.

Même si elles sont sures de ne pas être porteur du virus, toutes les personnes doivent appliquer les mesures barrière pour limiter la contamination.

  • Se laver ou désinfecter les mains régulièrement.
  • Garder au moins 1 m de distance avec les autres.
  • Ne pas se toucher.
  • Ne pas toucher ce que les autres ont ou peuvent toucher. Ce sera dur pour les tripoteurs compulsifs du lidl.
  • Porter un écran entre le nez et la bouche et l’air. Le masque n’est pas la panacée mais c’est ce qu’il y a de plus pratique.
  • Ne pas se mettre dans le vent des autres.

S’il y a assez de ventilation pour dissiper le virus, le port du masque n’est plus utile.

E.     Précautions à prendre.

Veillez aussi à garder vos ongles courts, pour éviter que le virus n’aille se cacher dessous.
Ne jamais secouer les vêtements (sur soi, ou qu’on a portés), draps ou chiffons. Si on secoue un linge ou qu’on utilise un plumeau, les molécules du virus peuvent alors flotter dans l’air pendant 3 h et aller ainsi se loger dans le nez.
Plus l’espace est confiné, plus la concentration du virus sera grande. Plus l’espace est ouvert et aéré, plus la concentration du virus sera réduite.
Si vous êtes à plusieurs dans un courant d’air, veuillez à vous positionner perpendiculairement à ce courant d’air, de façon à ce que personne ne respire de l’air venant d’un autre.
Mettre un masque pour filtrer les virus est bien. En sortir le nez pour qu’il puisse inspirer grandement tous les virus précédemment filtrés est stupide. Toucher la partie filtrante où sont emprisonnés les virus est stupide. Faire bailler le masque pour inspirer de l’air qui évite le filtre est stupide.
Ne vous mettez jamais dans l’axe de tir d’un bègue qui postillonne.
 
N.B. : Outre les indications ci-dessus, vous devez vous laver les mains avant et après avoir touché : muqueuses, nourriture, serrures, poignées de portes, boutons et interrupteurs (lumière, ascenseurs…), téléphones, télécommandes, montres, ordinateurs, bureaux, télévisions, etc…

F.     Combattre les effets de la maladie.

1.      De manière préventive.

Dès qu’un malade est positif et développe des symptômes, il faut lui administrer un traitement qui aide son corps à combattre les effets de la maladie. Il est totalement débile d’espérer que ce traitement ait un effet une fois que le malade est sous respiration artificielle, puisque ces effets ont trop progressé. C’est pourtant ce que le gouvernement a fait tester pour pouvoir argumenter contre le traitement à l’hydroxychloroquine.

2.      De manière curative.

Là ce ne sont que les respirateurs et les produits qui peuvent aider le patient à surmonter cette maladie.
V.   Ce qui a été fait.
Le confinement était brutal, le déconfinement était mal géré, l’été sans surveillance, le couvre-feu à l’encontre du bon sens et le confinement inversé. Voilà pourquoi nous nous retrouvons avec une deuxième pandémie qui ne cesse de grandir.

A.    Lors de la première vague.

Le confinement généralisé a permis de plus ou moins bloquer les gens dans leurs foyers. Le virus a pu s'y répandre, infecter les présents, les rendre malades, les envoyer à l’hôpital ou même les faire mourir. Mais les foyers sains (beaucoup plus nombreux) ne se sont pas fait infecter. Lorsque le virus n'a plus pu se répandre, il commençait à disparaître.

B.     Lors du déconfinement.

Malheureusement aucune restriction n’a été appliquée et les messages du gouvernement s’ils n’étaient pas ambigus étaient alors contradictoires. Cela n’a pas incité la partie insouciante de la population à appliquer sérieusement les mesures barrières.

C.    Lors du couvre-feu.

Le gouvernement a fait un confinement en pointillé. Les gens pouvaient s'infecter dans la journée et le ramener à la maison, comme avant, mais ils ont du subir le confinement nocturne. Cela a nui au travail de nuit, à la vie festive, à la vie sociale, aux grands déplacements, ... Certains vont même faire la fête, non pas sous la surveillance de professionnels, mais en milieu privé où les mesures barrières ne seront pas aussi bien appliquées.
A quoi cela sert, ce couvre-feu, si ce n'est que le gouvernement veut donner l'illusion de faire quelque chose alors que c’est n’importe quoi.
Avec ce couvre-feu, nous avons eu à la fois les inconvénients du confinement et les risques du manque de confinement.
Cela va empirer la situation sanitaire, économique et sociale du pays.

D.    Lors de la deuxième vague.

Malgré les leçons apprises des erreurs précédentes, le gouvernement a pris des décisions illogiques (politiques ?).

  • Pour se protéger du virus il faut absolument porter un masque où il est marqué sur la boite qu'il ne protège pas des virus.
  • La deuxième vague est plus grave que la première, c'est pour cela que le deuxième confinement est plus souple que le premier.
  • Les lieux où le virus se transmet le plus sont : les lieux de travail, les écoles, les endroits où les gens sont serrés. Tout le monde est confiné pour arrêter la propagation du virus sauf ceux qui vont travailler, ceux qui vont à l"école et pour cela ils sont agglutinés dans les transports en commun.
  • Il faut absolument éviter de se croiser. c'est pour cela qu’ils ont fermé les petits commerces qui reçoivent individuellement leurs clients, les répertorient, les surveillent et désinfectent les articles touchés. Mais ils laissent ouverts les supermarchés où les clients vagabondent en horde.
  • Ce qui ne peut plus être vendu par les petits commerces ne peut pas non plus être vendu dans les supermarchés.
  • Nous n'avons le droit de sortir que pour acheter le très strict nécessaire pour survivre. Le reste nous pouvons le commander sur amazon.

Le gouvernement a fanfaronné pendant l’été en prétendant qu’il a fait le nécessaire pour la deuxième vague, mais :
- Le protocole sanitaire des établissements scolaires n’était pas prêt.
- Le nombre de personnels soignants n'a pas été augmenté.
- les lits dans les hôpitaux ont continué à se faire fermer.
- des hôpitaux ferment.
- Les cliniques ne sont toujours pas sollicitées pour délester les hôpitaux.
- Les malades en surnombre sont transférés à 400 km de leur famille.
- ils ne peuvent transporter qu’une vingtaine de patients COVID par TGV alors qu’ils en mettent 8 par bus. Il faudrait peut-être démonter plus de sièges pour faire de la place.
- Certains traitements qui sont efficaces, peu chers, administrés préventivement à des millions de personnes saines et utilisés depuis plus de 70 ans sont subitement interdits.
- Des produits dont l’inefficacité a été prouvée (remdésivir), sont pourtant achetés en grand volume par le gouvernement. C’est gilléad qui le vend, c’est peut-être une partie de la réponse.
- Les tests à 80 € dont le résultat n'est connu qu'au bout de 2 semaines sont si sensibles que 20% des positifs n'ont rien.
- Avec plus de deux mois de retard par rapport aux autres pays, le gouvernement distribue enfin les tests dont les résultats sont connus au bout de 20 mn et qui ne coûtent que 2 €.
- Ils n’ont pas assez de tests, pas assez de laboratoires pour les analyser, ils ne sont pas assez rapides pour connaître le résultat avant la fin de l’infection, pas assez précis pour savoir si les positifs sont contaminants, pas assez de personnels pour faire l’enquête sur les cas contact, et il n’est pas possible de contrôler que les contaminants restent bien en isolement.

1.      Le conseil de défense décide ceci :

a)     Essentiel :

L’alcool, les friandises, le tabac, les jeux de hasard, le bricolage, la presse,

b)     Pas essentiel :

Un jouet, un livre, l’électroménager, les fleurs, l’habillement, l’ameublement,
Extraits d’une campagne de pub de monoprix ridiculise les décisions :
Les vêtements pour enfants jusqu’à trois ans sont à nouveau essentiels. Les autres sont priés d’arrêter de grandir.
Si les biberons n’étaient pas nécessaires, il fallait nous avertir de ne pas faire de bébés pendant le premier confinement.
Une commission venant de conclure que l’eau ça mouille, nous avons finalement le droit de vous vendre des parapluies.

c)      Autres aberrations.

Ce que tu ne peux plus acheter dans les petits commerces, tu ne peux pas l’acheter dans les supermarchés mais tu peux le chercher dans les casiers d’amazon à l’entrée de ceux-ci.
Tu peux chasser à 30.en battue ; mais pas seul avec ton chien.
Tu peux manger à 100 à la cantine... Mais pas à 20 au restaurant.
Tu peux aller bosser à 50 pendant 7h...mais tu ne peux pas aller en plein air seul pendant plus d'une heure.
Pour parler aux autres, il faut porter un masque. Bientôt il faudra aussi le porter à la maison. Alors pourquoi être confiné s’il faut prendre les mêmes mesures qu’avec des étrangers ?
 
Les métiers de larbins doivent rester ouverts mais les services publics ferment leurs antennes et réduisent les heures d’ouverture.

2.      Les sous-fifres savent aussi déconner.

Dans le Bas-Rhin, la préfète avait même interdit l’accès aux forets. Je n’ai jamais rien lu ou entendu sur les hécatombes covidiennes ayant eu lieu dans les forets. Alors pourquoi en interdire l’accès ?
Le Préfet des Bouches-du-Rhône est réjouit quand les dealers ont leurs attestations.
On traite les fidèles à la messe comme une menace.
La police traque impitoyablement les contrevenants à l’autorisation de sortie mais le trafic de drogue ne diminue pas.

3.      Des anormalités normales.

Les étrangers peuvent entrer en France sans papiers et les français ne peuvent pas sortir de chez eux sans papiers.
Toute la population est bloquée à la maison alors que la très grande majorité d’eux n’a rien et on hésite à imposer aux malades atteints de s’isoler.
Tous les français sont punis parce que leur gouvernement n’a pas voulu prendre des mesures logiques, pourtant connues.
Heureusement qu'ils sont intelligents, instruits et bien conseillés sinon on pourrait croire qu'ils font n'importe quoi.

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